Perdre du poids
grâce à une flore intestinale saine
S’il est une vérité absolue, c’est que nous sommes ce que nous mangeons. Cela ne tient pas seulement aux calories que nous apportons à notre organisme, mais également à la composition de notre flore intestinale, qui est considérablement influencée par la façon dont nous assimilons les aliments.
En effet, les bactéries qui colonisent nos intestins sont responsables de la manière dont nous digérons les aliments. Elles déterminent quelles vitamines nous synthétisons, la façon dont nous supportons le chou et digérons les lipides (graisses), et même l’efficacité avec laquelle nous assimilons les glucides. Ce sont donc elles qui régulent le nombre de calories que nous absorbons de notre alimentation.
Ainsi, il est tout à fait possible que des personnes ne perdent pas de poids, alors même qu’elles pratiquent beaucoup de sport et qu’elles ont réduit leurs apports.
Perdre du poids
grâce à une flore intestinale saine
S’il est une vérité absolue, c’est que nous sommes ce que nous mangeons. Cela ne tient pas seulement aux calories que nous apportons à notre organisme, mais également à la composition de notre flore intestinale, qui est considérablement influencée par la façon dont nous assimilons les aliments.
En effet, les bactéries qui colonisent nos intestins sont responsables de la manière dont nous digérons les aliments. Elles déterminent quelles vitamines nous synthétisons, la façon dont nous supportons le chou et digérons les lipides (graisses), et même l’efficacité avec laquelle nous assimilons les glucides. Ce sont donc elles qui régulent le nombre de calories que nous absorbons de notre alimentation.
Ainsi, il est tout à fait possible que des personnes ne perdent pas de poids, alors même qu’elles pratiquent beaucoup de sport et qu’elles ont réduit leurs apports.
Problèmes de peau
L'influence du microbiote sur notre peau
Notre peau est exposée à de multiples agressions auxquelles elle doit faire face pour maintenir son intégrité et se renouveler. Ces agressions engendrent un stress inflammatoire et oxydatif qui impactent négativement sa jeunesse et son rayonnement.
Le microbiote intestinal, en exerçant une fonction de barrière naturelle, s'oppose au passage d'éléments étrangers au travers de la muqueuse intestinale et évite ainsi que ne se propagent dans l'organisme ces mécanismes inflammatoires et oxydants. En favorisant l'intégrité de la muqueuse intestinale, le microbiote renforce en réalité la cohésion de l'ensemble de nos tissus.
Il est aussi le garant du travail digestif qui consiste à extraire les minéraux (zinc, silicium, sélénium...), vitamines (A, E, B...), oligo-éléments et acides gras des aliments, nécessaires au bon fonctionnement de tous les organes et notamment de la peau. Le microbiote intestinal en tant qu'acteur de ce travail métabolique favorise ainsi la biodisponibilité de micronutriments indispensables aux mécanismes de régénération et de beauté de la peau.
Lien Intestin/Peau
Une belle peau commence par les intestins
La peau est l’organe le plus “large” du corps et reflète dans la plupart des cas notre santé “intérieure”, et par conséquent la santé de nos intestins.
Le lien intestin-peau est avéré : certains récepteurs de l’immunité innée sont identiques même si la nature des bactéries est différente.
Tout comme notre intestin, la peau est un écosystème, composé de milliards de micro-organismes (bactéries), appelé microbiote.
Ce dernier évolue en fonction de notre environnement, notre mode vie et notre âge. S’il est déséquilibré, le microbiote ne peut plus jouer correctement son rôle de bouclier contre les agressions extérieures et limiter l’impact du stress oxydatif sur nos cellules. La prolifération des mauvaises bactéries accélère le vieillissement de la peau et favorise l’apparition de l’acné, la rosacée, l’eczéma, les rougeurs… et autres irritations.
L'évolution du microbiote
Trois grandes phases
Selon les publications récentes, le microbiote évolue principalement à chaque grand changement hormonal de la vie. La peau connaît trois moments clefs
LA NAISSANCE
Avec un microbiome différent selon que l’accouchement se fasse par voie vaginale ou par césarienne. Stérile dans le placenta, la colonisation de la peau par les micro-organismes commence au moment du passage vers l’environnement extérieur. L'accouchement par voie basse transmet au bébé des bactéries de type vaginales voire intestinales comme des Lactobacilles. L'accouchement par césarienne transmet plus particulièrement des bactéries de type cutané comme des Staphylococcus. Les enfants nés par césarienne présentent un risque d’eczéma plus élevé.
LA PUBERTÉ
L’augmentation des sécrétions sébacées et la sueur modifient le microbiome de la peau
LA MÉNOPAUSE & L'ANDROPAUSE
Voient chuter la sécrétion de sébum et une diversification du microbiote.
Tout au long de la vie adulte, le microbiote restera relativement stable s’il n’y a pas de changements de mode de vie.
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